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03.06.09 Cognac - façon de voir

Premièrement, il faut bien définir, que brandy est considéré aussi comme cognac, parce que l'originalité du goût du cognac de Cognac – est un mythe ordinaire engendré par la société de la consommation pour duper des consommateurs crédules.

Deuxièmement, il faut défini, pour quel but on boit du cognac - pour l'ivresse, dans les buts médicaux, en qualité du stimulant, ou à titre du supplément alimentaire.

Si on le boit pour pour être ivre, c'est-à-dire par bouteilles, alors il faut verser une bouteille dans un large vase (le saladier convient aussi), pour que la vapeur abominable parte. À vrai dire, le vase n'est pas commode pour verser aux coupes, c'est pourquoi il faut transvaser le liquide dans la carafe avec un large col, ou bien faute de cela on peut puiser le cognac avec une louche ou avec une tasse de thé (sa construction convient au mieux pour ça).

Si le cognac est bu dans les buts médicaux, alors ce sont quelques 50 grammes (millilitres) et c'est sans aucune importance comment ils passeront dans l'organisme, l'essentiel - faire cela per os, car d'autres procédés sont vilains (je crois que vous deviner ce que je voudrai dire).

Si on boit le cognac comme stimulant, cela se fait d'habitude dans une fiole. Les gens alambiqués versent de la fiole (en argent) dans la cloche (grande comme l'estomac de chaton) et, se plissant les paupières, soi-disant du plaisir, ils, soi-disant, boivent. Tout ça naturellement comme n'importe quelle affectation n'apporte pas de la satisfaction véritable. Dans la fiole il faut boire du col et ensuite essuyer les lèvres avec la manche (de la main tenant la fiole). Certains ajoutent du cognac dans du café ou du thé. C'est nuisible, mais efficace et bon.

Si le cognac est bu à titre du supplément alimentaire (et pour faire le fanfaron ou pour se griser légèrement), il faut prendre une telle large coupe, plus large elle est, mieux cela vaut, y verser du cognac et attendre avec le regard pensif. Quand la vapeur vilaine sort, on peut commencer - plonger la langue dans le liquide, jusqu'à ce que la langue s'engourdisse. Ensuite on peut prendre le cognac dans la bouche, le tenir à l'interieur et l'avaler par des gorgées menues. C'est recommandé par de grands connaisseurs du cognac. Mais la réalité démentit ces conseils ingénieux - en effet, boire le cognac "selon les règles" est recommandé pour que le pochard stupide qui, s'en est fait accroire pour un certain temps gourmet, engourdisse ses récepteurs gustatifs, ensuite n'importe quel cognac lui semblera quinquagénaire, beau et très cher. Ayant obtenu l'engourdissement de la cavité buccale, il est impossible de sentir le goût du cognac. C'est pourquoi il ne faut pas boire le cognac par de petites gorgées, il ne faut pas rincer la bouche avec. Il faut le boire sec, d'un trait, et ensuite expirer lentement par le nez. Le nez dira tout. Si le cognac plait - alors on peut respirer son odeur et boire par de petites gorgées, mais pas d'affilée, et ne pas rincer avec lui la cavité bucale. Il ne faut pas boire le cognac en mangeant abondamment, comme n'importe quel breuvage alcoolisé fort ayant le goût prononcé. Nous avons la vodka pour la boisson accompagnée des hors-d'oevres. Le cognac se boit sans plus, comme ça. Eh bien, on peut, certes, boire parfois de l'eau, pour restaurer les sensations.

Il est naturel, si vous buvez le cognac selon la première variante, avec cela vous pouvez manger tout ce que vous voulez - concombres salés, champignons, pelménis - tout sera bon.