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13.03.09 Un ex-soviétique, témoin oculaire, sur les côtés négatifs de la vie de la capitale française

 

Le Paris criminel

La France avec juste raison était considérée comme le pays démocratique modèle. Quand en 1981 pour la première fois dans l'histoire de la Cinquième République le socialiste Mitterand a vaincu aux élections présidentielles, Paris s'est emparée en vérité d'une jubilation nationale. Les socialistes ont gouverné la France presque 20 ans avec de petits intervalles. En 2002 pendant les élections présidentielles et parlementaires ils ont essuyé une défaite écrasante. Et en outre dans le premier tour des élections présidentielles les socialistes ont cédé la deuxième place au Front National profasciste de Le Pen, ce qui a provoqué une panique dans toute l'Europe. La question : pourquoi on a flanqué dehors les socialistes? Peut être, en se couvrant de bons slogans socialistes, les scélérats et les criminels se sont faufilés au pouvoir? Non: les leaders des socialistes français étaient les gens dignes, honnêtes et leurs regards politiques méritaient le respect de toutes sortes. Même avec les problèmes économiques (le faible point de tous les partis gauches) les socialistes français se sont acquittés tout à fait bien.

La raison principale de la défaite des socialistes selon les politologues est que s'étant passionnés de la protection des droits de l'homme dans le monde entier, ils ont oublié la sécurité de simples Français. Les langues méchantes affirment, qu'au cours de 20 ans de l'administration des socialistes la France s'est transformée en paradis pour les criminels, en maison syndical de repos (sanatorium) pour les voleurs, bandits et voyous. Tout en respectant les règles définies, en France on peut voler, piller, tuer, faire du tapage impunément.

De qui il faut avoir peur

Les agences touristiques dans le monde entier déjà il y a longtemps prévenaient les clients: à ce qu'on dit, à Paris tenez-vous bien aux poches (les vôtres, certainement). Les journaux français répétaient tout le temps la croissance de la criminalité dans le pays. De plus, peu à peu la croissance de la criminalité devenait le sujet à la mode. Mais la criminalité grandissait quelque part là, loin, dans "les banlieues chaudes". Mais Paris - c'est autre chose. Les touristes viennent à Paris plus, qu'à n'importe quelle autre ville du monde, et parler de la criminalité à Paris est incorrecte politiquement.

Maintenant essayez de faire l'expérience. D'ailleurs, ne vous vous inquiétez pas: on fera cette expérience avec vous sans demander votre accord, - on arrachera votre sac ou - vous mettez votre main dans la poche et apercevez que votre bourse s'est volatilisée. Pour votre bonheur, vous remarquez les policiers et vous vous jetez vers ceux-ci, en expliquant confusément, qu'on vous a détroussé tout à l'heure. "Qui ?" - le policier demande. Qui ??!! Vous ne savez pas. Celui qui a arraché votre sac, s'est sauvé dans cette rue ou s'est caché dans la foule, mais celui qui a fait sorti tout doucement votre bourse ou a coupé le sac, n'a pas laissé on ne sait pourquoi sa carte de visite. Néanmoins vous espérez, que les policiers se jetteront chercher les voleurs. Vous espérez inutilement. Les policiers de patrouille ne cherchent pas des voleurs, leur tâche est - patrouiller. Par contre ils vous expliqueront poliment, comment parvenir au poste de police le plus proche. Vous passerez demi journée dans le commissariat de police, là - une grande queue des victimes. Votre tour viendra, on vous écoutera, on rédigera dans les règles la plainte et souhaitera un agréable passe-temps à Paris. Et la bourse ? Plutôt, que faire sans bourse, sans argent, sans cartes de crédit, sans passeport qui était dans votre sac? On vous conseillera de vous adresser au consulat de votre pays.

C'est tout. Vous pouvez dire adieu à la bourse, au passeport, à l'argent, aux cartes de crédit. La police parisienne ne les cherchera pas. La police parisienne ne s'occupe pas des telles bêtises.

Entre autres, les policiers français agissent tellement non parce qu'ils sont mauvais ou indifférents aux malheurs d'autrui. Tout simplement ils savent très bien que votre bourse ou le sac sont déjà dans un autre arrondissement de la ville. Jamais personne n'a retrouvé les sacs et les bourses. A vrai dire on peut avec grande peine prendre les voleurs. Seulement à quoi bon les attraper, lorsque ils, les voleurs, ou seront enlevés par la foule écumant de rage, ou ils, les voleurs, si même on les amène au poste de police, seront relâchés quelques heures plus tard.

L'humour français ? Mais non, c'est que les policiers se sont habitués à ce que les bandes des voleurs agissant dans Paris, respectent scrupuleusement les règles du jeu. Les professionnels - attention! Les règles sont les suivantes. Première - la moitié de votre bande doit se composer des Nègres et des Arabes. Alors, si la police tentera de les arrêter la main dans le sac, il faut hurler à tue-tête, en montrant du doigt les policiers :

- Racistes, racistes!!!

La foule des Parisiens de différentes couleurs immédiatement viendra en aide, se ruant sur la police, et c'est alors le problème des policiers de filer sans demander leur reste.

Deuxième – ce sont les enfants qui doivent voler. Selon la législation française libérale les enfants jusqu'à 13 ans sont hors de la compétence pénale. La responsabilité pénale entière commence en France à partir l'âge de dix-huit ans. Une histoire remarquable a eu lieu à Nanterre où la police a arrêté un adolescent de dix-huit ans, qui a terrorisée cette banlieue parisienne au cours de trois ans. Il arrachait chez les gens âgés les sacs et les bourses, et si la petite vieille persistait, il la battait. Les policiers connaissaient ses exploits, mais ils ont cessé de l'arrêter. C'était dénué de sens. On amenait "l'enfant" – "nourrisson" au commissariat, et le même jour après une causerie paternel on le mettait en liberté. Et seulement, quand le garçon gentil a atteint la majorité, il a été arrêté, l'enquête a commencé et on a constaté, que le gamin a sur sa conscience plus de 500 (!!!) pillages et voies de fait. Il les faisait de quatre jusqu'à sept fois par jour. Une telle régularité et la capacité de travail sont au-dessus des forces même du criminel acharné.

Ainsi il est plus sûr et moins dangereux de voler avec l'aide des enfants qui n'ont pas atteint l'âge de 13 ans.

... Le soir, une rue parisienne, - je vois comment on étripe le salon d'une luxueuse "Mercedes". Un escogriffe avec la mine sombre est sur ses gardes, le Noir cultivé aux tempes blanches est à côté, il sourit tendrement aux rares passants. Le gamin chocolat de huit ans avec le minois si sympathique - tout à fait pris directement de la publicité des produits d'enfant – vide la voiture. Voilà qui s'appelle un exemple du professionnalisme avec un bon humour français, mais l'essentiel, avec une garantie de la sécurité à cent pour cent. En effet, si le propriétaire de la "Mercedes" accourt, le type aux muscles pompées corrigera sa gueule. De rares passants, ayant estimé la situation, répondront par le sourire à "l'intellectuel" aux cheveux blancs. Et si soudain la police arrive, elle aura affaire seulement au garçon de huit ans. Mais que peut-on obtenir de l'enfant de huit ans? - Il a remarqué, que la porte de la voiture est ouverte, et y a pénétré pour jouer. C'est tout? C'est tout. Naturellement l'enfant ne se rappelle pas son adresse, mais peut parvenir seul à la maison. Et le policier, ayant soupiré, offre le bonbon à l'enfant et lui souhaite de rentrer à la maison et passer la rue seulement au feu vert.

Les Romanichels il y a longtemps ont démêlé les particularités de la législation française. Si le campement miniature de tziganes déferle sur vous, tous les rôles à l'intérieur sont distribués d'avance. Les Romanichelles proposent de dire la bonne aventure et par cela détournent l'attention et vos poches ou les sacs sont vidés par les gamins.

Le commentaire est nécessaire. Tout ce que j'ai dit sur les Bohémiens est politiquement incorrect. On appelle les Bohémiens en France valablement "gens du voyage". Les "gens du voyage" voyagent pas sur les canassons harassés, mais en voitures confortables avec les caravanes, et le chef du campement (ou comment s'appelle-t-il chez ceux-ci - le directeur de la production?) est obligatoirement en "Rolls-Royce". Personne ne les interroge d'où vient leur argent, c'est incorrect politiquement, bien qu'on sache, que les Bohémiens ne travaillent pas. À vrai dire, les habitants des villages ou petits bourgs, à côté desquels le campement des gens qui voyagent s'arrête, lèvent un hurlement glapissant, les mairies protestent énergiquement, car le vol général commence dans les alentours. Cependant la presse française, si répond quelque peu, explique cela par le racisme et les idées arriérées de la population locale.

Et tout de même une leçon classique, comment il faut vol... pardonnez, c'est politiquement incorrect – il faut dire: comment il faut travailler en France, a été donnée pas par quelques bohémiens libres ou menus truands parisiens, mais par les ressortissants des pays de l'ancien bloc socialiste de l'Est, où les gens se sont habitués à une organisation sévère. En été 2001 une bande des enfants roumains à l'âge de 8 jusqu'à 12 ans a débarqué à Paris. Les jeunes pickpockets ont passé une excellente formation quelque part dans la région de Ploiesti et ont montré à Paris une maîtrise exceptionnelle. Les policiers prétendaient, que les doigts sensibles des enfants identifiaient au toucher la valeur nominale des billets dans la bourse des clients. Les clients, qui sont-ils? En général, ce sont les touristes japonais et américains: les Japonais - parce qu'ils portent avec beaucoup d'argent comptant, les Américains - parce que leurs passeports sont hautement côtés sur le marché noir.

À propos, la police vigilante n'a découvert aucun Roumain adulte dans les alentours de Trocadéro. Seulement les enfants y agissaient. Selon l'estimation des experts, chaque petit voleur se procurait jusqu'à 25000 francs (4 mille dollars environ) par jour. Personne n'a vu que les enfants achetaient pour eux-mêmes que quelque chose pour manger que quelqu'un les nourrissaient. Si on attrapait les enfants (vraiment comme la police française est lente, mais si elle s'applique à faire quelque chose comme il faut, elle est capable de venir à bout), une question se pose: que faire avec ceux-ci après? Les enfants ne desserrent pas les dents, comme les maquisards pendant l'interrogatoire. Les enfants font semblant, qu'ils ne pigent rien en français (mais c'est peut être vrai en effet). On ne peut pas punir les enfants jusqu'à 13 ans en France, on peut punir leurs parents. Mais où sont leurs parents? Même si on réussit à observer l'itinéraire des enfants du "lieu de travail" jusqu'à la maison (quelque part dans les banlieues orientales de Paris) et faire irruption dans l'appartement, les adultes jouent le spectacle: à ce qu'ils disent absolument ils ne connaissent ces enfants, et les enfants expliquent par les signes, qu'ils se sont trompés de l'adresse. Le policier méticuleux peut exiger les documents, s'il y a des problèmes avec les documents, on peut parvenir à expulser les adultes et les enfants de la France. Cependant dans deux semaines les mêmes enfants apparaissent de nouveau à Trocadéro ou près de la Tour Eiffel, et aux arrêts suivants ils se nomment d'autres noms.

Faites vos adieux à votre bourse, passeport, argent, cartes de crédit. La police parisienne ne les cherchera jamais.

Tout l'argent volé par les enfants, passent aux poches de la mafia roumaine. La mafia roumaine, en profitant de la misère dans le pays, achète facilement les enfants chez leurs parents. En Roumanie dans les régions particulières le boom de construction a lieu, on érige les villas en brique pour les maffiosi, mais aucun des enfants partis pour la France, n'est pas revenu, personne n'a envoyé l'argent à la famille. La mafia roumaine a dressé cruellement et a terrorisé ses jeunes élèves. La mafia roumaine est étrangère aux sentiments, c'est pourquoi la police parisienne croit raisonnablement, qu'en attrapant de petits voleurs, la mafia roumaine en réponse les punira sévèrement pour "un mauvais travail". C'est-à-dire va les noyer dans la Seine pour faire peur, ou une variante roumaine humaine – les faire s'occuper de la prostitution dans les rues parisiennes. Alors...

Les conclusions s'imposent.

Il est curieux, que dans tous ces débats consacrés aux victimes de l'injustice sociale dans la Roumanie, pratiquement personne n'ait soufflé mot sur les touristes étrangers malheureux pillés dans Paris, car c'est politiquement incorrect. En effet, comment malheureux s'ils ont trouvé de l'argent pour voyager en France ? À vrai dire, une fois (je l'ai vu de mes propres yeux) ont a montré à la télévision le vieillard pleurant et balbutiant, dépouillé complètement de tout ce qu'il avait accumulé pendant quelques ans pour réaliser le voyage à Paris.

Le présentateur du téléprogramme regardait l'Américain avec une répugnance évidente - il n'y a rien à en dire si un vieux ballot ne comprend pas l'humour français!

Chapitre deux: où et que cambrioler en France

Chers Messieurs les criminels! Vous ne tomberez pas bien bas, certes, vous ne vous laisserez pas aller au vol menu, une prise plus grosse vous serait plus convenable. À ce sens on peut voler des voitures chics et puis les vendre quelque part en Afrique, au Proche-Orient ou en Russie et en Ukraine. Les professionnels du haut vol interceptent sur les autoroutes les camions qui transportent l'équipement électronique et électroménager. Comme le bon ton on considère le vol à main armée des banques, des bureaux de change et des bijouteries. Cependant les voleurs raisonnables et expérimentés préfèrent à ces plaisirs crânes les vols calmes de logement.

Pourquoi les cambrioleurs des appartements ne courent le risque de rien? Parce que la police n'attrape pas les voleurs de logement par principe, en se référant sur ce que: premièrement, la police n'a pas de moyens, deuxièmement, les fileurs professionnels sont très rares, troisièmement, en France il y a plus de voleurs de logement, que des policiers.

Certainement, personne ne vous dira pas cela officiellement. On en parle inofficiellement avec les journalistes, qui publient les conversations sans indiquer les noms, et il y a finalement une opinion. Cette opinion en quelque chose est avantageuse à la police et est accueillie avec la compréhension par l'opinion publique. Pourquoi ? Parce qu'en France une telle catégorie des travailleurs qui ne demanderait pas l'augmentation du salaire, le financement supplémentaire de l'équipement technique et l'augmentation du personnel n'existe pas.

Je ne connais pas les statistiques officielles, mais j'ai les miennes. Mes amis français (j'en ai pas mal) au moins une fois on été pillés. Plus exactement, on a cambriolé leurs appartements ou les maisons. Et jamais la police n'a trouvé les voleurs ou le bien volé. Chez l'une de mes amies on a ouvert l'appartement en plein jour, quand elle était au travail. En rentrant, elle a découvert la porte enfoncée, l'absence de l'ordinateur, des bijoux en or et... les traces de chaux sur le parquet, qui conduisaient directement à l'appartement voisin, où les ouvriers étrangers faisaient des réparations depuis deux semaines. N'importe quel adolescent devinerait, qui a ouvert l'appartement. Je présume, que même le policier français saisirait les voleurs sur les traces fraîches. Pour faire ceci il n'a fallu qu'arriver à la place du crime. Mais la police n'est pas venue. Ni ce soir, ni le lendemain, ni dans une semaine.

Six mois plus tard, comme c'est prévu par la loi, la femme a reçu un avis de la préfecture, que l'enquête liée avec la plainte est fermée. La question : pourquoi alors la police accepte les plaintes sans avoir l'intention de les enquêter ? En effet, c'est le comble du cynisme. La question est incorrecte. La police est obligée d'accepter les plaintes des travailleurs dans le pays démocratique. De plus, la police française remplit volontiers tous les papiers nécessaires. Ces papiers, plutôt, leurs copies sont nécessaires pour les compagnies d'assurance. On croit, que le Français sage garde soigneusement le ticket pour chaque objet cher acheté dans le magasin. Le ticket étant donné et la plainte enregistrée à la police l'assurance rembourse (partiellement) la valeur des biens volés. De sorte ce sont des histoires ordinaires, quotidiennes. Si le Français a jeté les tickets ou n'a pas fait assurer l'appartement contre le vol, donc il n'avait rien de valeur. Il n'y a pas de raison pour que la police s'occupe du rien. Je n'ose pas affirmer, qu'il y a quelque liaison entre la police, les compagnies d'assurance et les ateliers qui fabriquent les portes blindées et les serrures complexes. Je sais seulement, que le nombre des tels ateliers augmente vite en France, c'est-à-dire de nouveaux lieux de travail s'ouvrent. La lutte pour la réduction du chômage a une importance politique primordiale pour tout gouvernement français, droit ou gauche.

Maintenant nous passerons à l'étude des occupations plus fascinantes: vol des voitures, le pillage des banques et des bijouteries.

Stop, on coupe ma parole. Le propriétaire de l'appartement, il est si bête pour rendre son bien ? Mais s'il est armé ? Nous savons qu'en Amérique les armes sont dans chaque maison. Mais en France est-ce qu'elles sont absentes ?

Ensuite on a expliqué a la télévision que ces policiers - deux cents personnes - ne savent pas tirer.

En France, en effet, on peut acheter une grande quantité des armes, et on peut acheter tout ce que vous désirez au "marché noir": pistolets de toutes les marques jusqu'à les mitraillettes Kalachnikov et les lances - grenades. Les criminels achètent tout cela, car pour ceux-ci il n'y a qu'une réponse - advienne que pourra. L'achat de l'arme au "marché noir" menace au Français honnête de grands ennuis, et actuellement dans le magasin officiel on ne lui vendra pas même une carabine à air comprimé. Autrefois le Français pouvait garder les armes à feu dans sa maisons, maintenant il est obligé de les enregistrer, ou rendre à la police. Seulement une petite catégorie des Français a le droit d'enregistrer l'arme, c'est-à-dire l'avoir chez eux légalement. Si la police trouve dans votre maison l'arme (non enregistrée), elle le confisquera, vous devrez payer une solide amende. Eh bien, mais si vous employez l'arme, vous vous sentirez très mal.

... Je me rappelle les temps, quand les Français tentaient encore de riposter par un feu d'artillerie contre les attaques des cambrioleurs de logement et les propriétaires des petits magasins - des pillards. Cela s'achevait toujours mal. Si la balle touchait par hasard le voleur ou le cambrioleur, la bande des voyous de rues mettait en lambeaux votre boutique, couvrait de pierres, incendiait votre maison. La presse publiait des articles pleins d'indignation: comment ca - tirer sur quelqu'un sans enquête et justice? La loi française n'admet pas l'autodéfense, la police doit protéger les citoyens. On laisse le fripon malchanceux en liberté avant le procès. Le tireur guignard est arrêté et est mis en prison. Sa détention sera longue. On lui collera la peine:

а) Pour le dépôt illégale de l'arme;

b) Pour son utilisation.

C'est pourquoi, je répète, messieurs les criminels, vous pouvez voler tranquillement les boutiques et les magasins et dévaliser les appartements. Seulement un rare fou, à qui la vie n'est pas chère, et qui est prêt de vivre dans la prison jusqu'à la fin de ses jours, peut vous opposer de la résistance armée.

Le Ministère de l'Intérieure s'est produit avec une initiative curieuse la dernière année de l'administration du socialiste Lionel Jospin. Les grades policiers visitaient les bijouteries et donnaient des instructions aux propriétaires et employés comment il faut se comporter pendant les raids des bandits. C'est que les bijoutiers sont la dernière catégorie des marchands français qui ont la permission d'avoir l'arme dans le magasin. Donc les policiers apprenaient aux vendeurs non pas comment se servir de l'arme, mais comment se cacher instantanément aux locaux sûrs et comment vite fermer les portes derrière. En résultat le début de 2002 en France a été marqué par le record de la quantité des pillages des bijouteries. Le détail gentil: on a pillé les magasins célèbres de Paris sur la Place Vendôme, où, entre autres, le Ministère de la Justice est installé....

Une information fraîche. Ce jour, quand j'écris ces lignes, on a passé à la radio le message, que le congrès extraordinaire des bijoutiers s'est ouvert à Paris. Les bijoutiers sont pris de panique. Vous croyez que c'est à cause des incursions des bandits ? Il n'existe aucun bijoutier en France qui n'a jamais été pillé, de sorte qu'on s'est habitué à cela. Avant toutes les pertes étaient remboursées par l'assurance, mais maintenant les compagnies d'assurance ont annoncé leur refus de prolonger les contrats. Si cela a lieu, tous les bijoutiers français accrocheront à la porte de leurs magasins vides de grand cadenas et s'inscriront pour les allocations de chômage.

Incontestablement et sans aucun doute: le cambriolage des banques et des bureaux de change – est une distraction préférée en France. Les professionnels, naturellement, sont dans des premiers rangs, mais qui n'a t-il-pas pillé les banques! On a fixé les cas, quand les banques cambriolaient... les policiers, pourtant, en effet à ce propos ils mettaient des vêtements civils.

Certes, "le chemin dans la banque" n'est pas couvert des roses - dans ce sens il y a aussi certaines difficultés. Par exemple, si vous êtes dans le masque ou dans le capuchon enfoncé sur les yeux, on ne vous ouvrira pas la porte de la banque. Les polissons de "des banlieues chaudes" tentent d'éperonner primitivement les portes par le camion lourd, mais les professionnels et le peuple plus intelligent usent de ruse. L'essentiel est agir vite et, ayant pénétré à la banque, pointer le fusil, la mitraillette ou le pistolet de jouets sur le caissier. Le caissier effrayé n'examinera pas de quel genre est votre arme et sortira toute l'encaisse du coffre - fort. Le malheur est ce que les autorités bancaires expérimentées connaissent, que la banque va être pillée malgré tout, c'est pourquoi la disponibilité dans le coffre - fort est piètre, on ne mettra pas trop de beurre dans les épinards. Mais ensuite il faut vite prendre ses jambes à son cou, car le caissier a appuyé déjà sur le bouton de l'alarme et la police allait se traîner à l'instant. D'ailleurs, si la police se traîne, on peut se tirer d'embarras aussi. Les professionnels rencontrent les policiers par les salves des "Kalachnikovs", et les policiers se cachent raisonnablement. Les amateurs malchanceux prennent aux otages des employés bancaires, les plantent dans leurs voitures, et ici vraiment tout dépend de la circulation. Ici tout dépend de la chance.

Un été toute la France observait à la télévision la poursuite policière du gangster. Le gangster a pénétré dans la banque d'épargne, s'est déguisé en vêtements féminins. Il s'est montré le maladroit. En attendant qu'il discutait des riens avec le caissier, la police est arrivée. Le gangster est resté deux heures dans la banque d'épargne et, en menaçant le pistolet, ne laissait sortir personne. A ce temps le renfort policier, 200 personnes, pas moins, accourus de tous les commissariats voisins se sont concentrés près de la banque. La télévision est arrivée, la transmission directe a commencé. Le gangster a quitté la banque d'épargne, en tenant une otage à la main. Les policiers s'énervaient, s'agitaient et en criant écartaient passants dans la rue. Le gangster s'embrouillait dans une longue jupe, sa main qui tenait le pistolet rajustait la jupe, l'otage avait un mètre de retard. N'importe quel écolier soviétique Vania ou Pétia ayant la troisième catégorie de tir du fusil de petit calibre pourrait loger la balle directement dans le gangster sans toucher l'otage. Tous les policiers étaient armés, mais personne ne tirait. Ensuite la télévision a expliqué, que ces policiers - deux cents personnes ne savaient pas tirer. Mais on ne sait pourquoi on a oublié faire venir les policiers, qui savaient tirer, les tireurs d'élite des unités spéciales de la lutte avec le banditisme. Ou  observaient-ils aussi avec passion les événements dans leurs télévision?

Le gangster avec l'otage a pris la voiture, est arrivé au parc où la fête de samedi passait et s'est perdu dans la foule. L'otage s'est retrouvée bientôt, le gangster a disparu. On l'a cherché jusqu'a la nuit profonde. Vainement.

L'affaire menaçait passer à un grand scandale, mais la télévision a tiré les autorités déshonorées d'embarra. La perruque féminine du gangster malchanceux glissait tout le temps, et quelqu'un des spectateurs a reconnu son voisin dans le malfaiteur et l'a dénoncé.

La maisonnette du bandit a été encerclée par la police, et à six heures du matin on l'a pris au lit, tiède, sans aucune résistance. La réputation des gardes de l'ordre a été sauvée.

Pour l'information. Le criminel quel qu'il soit dangereux, peut pas être arrêté au milieu de la nuit. Ne pas donner dormir bien au criminel est une violation la plus grossière des droits de l'homme.

Les banlieues "chaudes"

En apparence ces arrondissements produisent même une agréable impression. De grandes maisons à plusieurs étages avec les balcons (qui n'ont rien à voir avec nos quartiers pauvres des temps de Khrouchtchev); terrains d'enfant dans les cours; chaussée bien asphaltée à faire mourir d'envie plusieurs rues de Moscou; centre commercial, station de métro ou le train de banlieue tout près, les autobus qui circulent régulièrement... – tout cela est obligatoire ici. Il est vrai que les murs des maisons sont criblés de graffiti, les inscriptions obscènes couvrent les portes d'entrée et les ascenseurs, boîtes aux lettres sont cassés, le supermarché seule est ouvert dans le centre commercial - les devantures de tous les autres petites boutiques, boulangeries, cafés, kiosques à journaux sont hermétiquement obstruées par les stores de fer. Tels sont les faubourgs français qu'on appelle "chauds". Ils sont à la périphérie de chaque grande ville.

La police tâche de ne pas y fourrer son nez, les commerçants se sauvent d'ici (ils sont las d'être volés sans cesse), les professeurs se plaignent que l'équipement cher dans les classes subit le vandalisme, quand la veille des fêtes une "illumination" habituelle commence, c'est-à-dire lorsqu'on incendie les voitures (ce ne sont pas des voitures des millionnaires de passage qui brûlent, mais celles des habitants du quartier), les pompiers qui arrivent les éteindre, sont rencontrés par la grêle des pierres.

Qui se livre à des excès ici? Les hordes des Tatars-Mongoles ? Les brigands venus des bois sombres ? Non. C'est la jeunesse locale - 95 % des enfants des immigrants des pays arabes et de l'Afrique noire remercient d'une telle manière originale la France pour son hospitalité.

Est-ce que la France respectueuses des lois ferme les yeux à cela? Mais non! Les incendies des voitures et des boutiques commerciales, les batailles de rue entre les bandes des adolescents et la police est le sujet préféré de la télévision française.

Les journaux ne cessent pas à discuter comment régler la vie quotidienne des banlieues "chaudes". Commissions ministérielles siègent. Les conférences spéciales avec la participation des politiciens, scientifiques, savants, investigateurs, fonctionnaires municipaux tiennent séances. Au sujet des enfants pauvres des banlieues "chaudes" on écrit des livres, on tourne des films, les chanteurs à la mode leur consacrent les chansons... Je me repentis, je m'suis exprimé mal ayant écrit que ces enfants "remercient d'une telle manière originale la France pour son hospitalité". Faites grâce, de quelle reconnaissance il peut y avoir une question? Le ton général de la discussion est suivant: ce sont les enfants malheureux, victimes du racisme, du chômage, de l'inégalité de classe, des manques de la formation d'école, de l'absence des distractions, d'une faible l'intégration des familles françaises à la vie française. Etc., etc.....

Entre autres, ici chaque famille a l'appartement particulier avec le poste TV en couleurs, le réfrigérateur, la machine à laver, la salle de bain. (Excusez-moi, je me rappelle de nouveau mon enfance - logements communautaires entassés avec une toilette pour 20 familles, queues de deux heures pour entrer aux bains publics, maigre ration alimentaire, à rester longtemps debout la nuit pour acheter de la farine et du pain. Et pour la distraction - le jeu du football avec le ballon improvisé de caoutchouc et les films "La légende de la terre Sibérienne" et "Les Cosaques de Kouban". A Moscou nous voyions les tomates et les concombres seulement les grandes fêtes et ne soupçonnions pas de l'existence des oranges et des bananes, mais ici cela, excusez, on ne le tient pas pour la nourriture – parce qu'ici on en a assez).

En URSS la formation de quatre classes (ensuite de huit classes) était obligatoire. Ensuite si tu ne voulais plus apprendre - vas à l'usine. En France aussi la formation de 8 ans était obligatoire, et en attendant que l'enfant faisait ses études (jusqu'à 20 ans), la famille recevait une allocation. Nous usions de vieux vestons paternels, la jeunesse des banlieues "chaudes" toute, comme dans l'uniforme, fait parade dans les blousons en cuir de la marque. Quant aux distractions : jusqu'à Paris, où on peut trouver tout, excepté "Les Cosaques de Kouban", - il y a vingt minutes de route en transport public. Vous pouvez m'objecter: le trajet coûte de l'argent - cependant les "humiliés et offensés" actuels prennent le prix du transport public pour le préjugé bourgeois. Si le chauffeur du bus souffle mot sur le prix du passage – il aura la gueule cassée, le contrôleur dans le train sera battu. En signe de protestation les conducteurs des autobus et les cheminots arrangeront une grève. En réponse la jeunesse des banlieues "chaudes" couvrira les autobus et les trains électriques des pierres. La police arrêtera-t-elle les voyous? Des nèfles! On donnait à la police l'instruction secrète: ne pas entrer dans les banlieues "chaudes" sans besoin spécial, ne pas provoquer les enfants malheureux et infortunés.

Seulement quand les socialistes ont été chassés du pouvoir, un nouveau ministre de l'Intérieur Sarkozy a tenté de changer la situation. Où et comment cela a abouti, vous savez déjà. Inspirés par la victoire aux élections la droite a réalisé par le parlement la loi interdisant "attroupement abusif dans les parties communes d'immeubles, attroupement dans les halls et cages, empêchant une libre circulation. Cet abracadabra juridique se traduit d'une manière suivante: si dans votre cage d'escalier les adolescents se démènent, fument du hachisch, boivent les alcools, agressent les locataires, qui rentrent du travail chez eux ou ont osé se montrer simplement sur l'escalier, - donc, désormais les locataires ont droit d'appeler la police. Des années ont passé depuis la promulgation de la loi. Pendant ce temps seulement une personne a été condamnée en France conformément à cet article à un mois de la prison, et avec cela son avocat montré sur toutes les chaines TV a promis de faire appel. Quel était la réaction de la presse ? Vous n'avez pas encore deviné ? L'hurlement unanime: un arbitraire policier!!!

Laissons passer une phrase banale, que, à ce qu'on dit, les gens ne sont pas pareils dans les banlieues "chaudes": les footballeurs connus, les acteurs, les musiciens et même Bernard Tapie, ex-ministre et le millionnaire sont sortis d'ici. Tâchons mieux comprendre la psychologie de l'adolescent.

"Donc, moi, je m'appelle Mohamed Ali. J'ai doublé ma classe trois fois. Je lis mal et je n'aime pas ça, et je me fiche de toute la science. On est serré chez nous dans l'appartement - probablement, la mère le revolver sur la nuque a été forcée à accoucher 12 enfants (ou accepter les parents de l'Afrique, qui sont arrivés en France illégalement et c'est pour cela ils vivent chez nous). Le père me bat et dit, que si je ne vais pas au lycée dégoûtant, on nous diminuera l'allocation... En réponse je bats mes camarades de classe – les Français chétifs, qui ont une trop haute opinion d'eux-mêmes, ils prétendent faire bien les études, mais ne savent pas se bagarrer. Et les grues blanches s'adonnent à nous, car chacune sait: si elle est avec un gars cool, Noir ou Arabe, personne ne la touchera. Et que les Français ne geignent pas, ils sont coupables eux-mêmes, parce qu'ils n'ont pas pu m'assurer une vie normale. Qu'est-ce que c'est la vie normale ? Je l'ai vue au cinéma. Non, pas au cinéma, pour dire honnêtement, moi le cinéma m'embête, j'ai vu ça dans la publicité au TV: une villa au bord de la mer, une blonde bronzée, une Mercedes de sport, une "Rolex", le voyage dans la cabine de première classe sur le liner océanique. Certes, je peux aller travailler, les chargeurs, porteurs et les ouvriers de bâtiment sont demandés partout. Mais qu'est-ce qu'on va me payer? Le SMIG? Que les Français se tuent pour le Smig. Avec le Smig tu n'accumuleras jamais l'argent pour cette vie, à laquelle je rêve. Même maintenant à l'école je gagne deux fois plus en trafiquant des drogues. Nous, mecs à la redresse, comme moi, nous avons un autre chemin, et les gonzes de NТМ chantent correctement que le gars correcte est obligé de tuer les policiers. (Pour l'information : NТМ est le nom du "meilleur groupe de rap français". C'est l'abréviation. Le nom complet est "Nique Ta Mère". "Pisser sur la flamme tricolore/Le putain d'étendard du parti des porcs"– encore une belle phrase tirée de son œuvre). Cependant je ne suis pas imbécile et je comprends qu'il faut éviter la prison, simplement il faut tout faire intelligemment. L'arrondissement, où nous vivons, ne me plait pas, et j'en sortirai. Moi j'aurai villa, et yacht, et "Mercedes", et blonde bronzée! Il suffit une fois de cela suffira pour longtemps. Et cambrioler une banque - et à part cela on me propose d'aller au Proche-Orient, passer le stage dans une école islamiste de combat. On me propose un grand argent. Mais il faut ruminer cela, je ne l'ai pas encore décidé..."

J'admets tout à fait, que dans mon récit sur les adolescents difficiles des banlieues "chaudes" j'exagère un peu, je schématise et je simplifie. Pour se justifier je citerai le fait suivant: il y a trois ou quatre ans la mairie d'une des banlieues a décidé: " Priver des allocations tous les parents de ces adolescents, qui font du tapage dans les rues", (Je vous explique spécialement et en particulier: priver non pas du salaire, mais de l'argent, qui est versé aux parents pour l'éducation des enfants). En résultat le silence, le calme et l'ordre se sont établis dans cette banlieue, comme à Monte-Carlo. Hélas, pour peu de temps. Une vague d'indignation a passé à travers tout le pays: "Ce n'est pas humain, c'est antidémocratique, c'est le racisme!" La décision à été supprimée.

J'admets tout à fait, que je ne suis pas trop objectif par rapport à la presse française. Oui, certes, la télévision comme le propagandiste collectif et l'organisateur dicte les règles de la conduite politique correcte. Cependant j'ai lu à "Libération" un article sérieux, où on affirmait, que tous les troubles de la jeunesse dans les banlieues "chaudes" sont organisés sur l'ordre des narcodealers. Ce sont eux, narcodealers, qui dirigent, les banlieues, et, naturellement, ils ne veulent pas, que la police se mêler de leurs affaires. Et, à ce qu'on dit, plus tôt, avant Sarkozy, il y avait un accord secret entre la police et les narcodealers dans certaines régions: vous ne nous touchez pas, et nous veillerons à l'ordre nous-mêmes.

Mais quand il s'avère, que quelqu'un des "gamins" de banlieue fait la guerre en Tchétchénie, en Afghanistan, en Iraq du cote des extrémistes islamiques, à chaque fois c'est comme le tonnerre dans le ciel clair pour l'opinion publique française. Cependant ce n'est pas un secret à personne que dans les banlieues françaises des imans musulmans frais émoulus ont apparu, qui, pour ne rien dire de plus, n'éprouvent pas le manque des moyens financiers. Mais je suis étonné par l'instruction élémentaire politique des narcodealers français. Quand une démonstration ordinaire dirigée pour ainsi dire contre l'augmentation des prix s'organise dans la ville, les "casseurs" arrivent tout de suite, se livrent aux excès dans les rues. Mais pendant les manifestations contre l'occupation américaine de l'Iraq les "casseurs" ne donnent aucun signe de vie. Probablement, les narcodealers donnent des instructions: "Enfants, restez chez vous à la maison et regardez les bandes dessinées à la télé". Est-ce que pour les narcodealers on a organisé les cours spéciaux de l'attitude politique correcte?

Je soupçonne, que la France il y a longtemps est devenue l'aérodrome de secours des extrémistes islamiques, tout simplement ils tâchent de ne pas se montrer. Pour le moment. Et cela pas toujours, par exemple, les attaques aux camionnettes spéciales réservées au transport de l'argent sont devenues plus fréquentes. À vrai dire, ces camionnettes ont été attaquées autrefois aussi, mais maintenant les voleurs agissent, comme les détachements professionnels de commandos. Il est intéressant, où et dans quels camps militaires ils ont été entraînés?

... Si vous êtes de mon avis vous devez comprendre, qu'avec ces craintes et soupçons vous devez garder bien le silence en France et filer doux. Sinon vous serez condamnés de l'attisement de l'hostilité raciale et religieuse. Ou bien on vous tournera en ridicule: tout cela ce sont les peurs d'âge, nous avons beaucoup de tels retraités. Mais, entre autres, ces retraités français me font pitié. Notamment eux, pauvres et retraités souffrent le plus des immigrants. Ils ont bossé toute leur vie, construisaient le bien-être de la France, avec peine, à crédit, ont acheté un petit appartement dans une banlieue, et soudain la banlieue patriarcale se transforme en région "chaude", et eux, les vieillards, les pauvres - il n'y a nulle part où aller. En effet, dès que la banlieue "a noirci", les prix de logement sont tombés rudement, vendre l'appartement, certes, c'est possible, mais qu'est-ce qu'on peut acheter en échange ? Se faire porter sur une liste pour HLM (les maisons d'Etat avec les appartements bon marché) ? Bon, oui il y aura un public correspondant: tous les immigrants, ayant légalisé leur séjour en France, tout de suite écrivent une déclaration pour le logement à HLM. Mais les intérêts des vieillards et des pauvres français entrent en contradiction avec la politique d'Etat. En effet, la France protège les droits de la personne en général, - mais prendre en considération quelques bagatelles fâcheuses? C'est honteux et incorrecte. La politique de la France est dictée seulement des vœux pieux et de bonnes intentions. Ce sont exactement ces bonnes intentions qui pavent le chemin en enfer.

 

Quelques faits routiniers tirés des bulletins des hostilités dans les villes françaises.

Un bijoutier a été assassiné lors d'un braquage à Marseille ce matin.Sa bijouterie a été l'objet d'une attaque par plusieurs malfaiteurs. L'un d'eux l'a abattu avec un pistolet-mitrailleur, l'atteignant mortellement au thorax par deux balles. Ce meurtre s'est déroulé dans les quartiers occupés du nord de Marseille.

Mais bien entendu, il n'existe aucun lien entre ce meurtre et la faune de ces quartiers...

 

Paroles de racailles :
«Avant, on détestait les flics, mais on ne les aurait jamais tapés», commence Malik, qui affiche «28 ans aux 4000», une cité de La Courneuve (Seine-Saint-Denis). Depuis quelques années, le tabou est levé : «Les petits cognent dès qu'ils peuvent.»
«Ils n'ont rien à faire ici», grommelle Nabil qui vit à Clichy-sous-Bois. La simple présence d'hommes en uniforme est perçue comme «une provocation».
«Ce sont des rats. On les a bien caillassés pendant les émeutes et on va recommencer», raconte Adil, 19 ans, de Stains.
«Y'a trop de fachos chez les flics», avance Ahmed, de la cité ZUP de Clermont-Ferrand.
L'arrestation d'un jeune est toujours ressentie comme une injustice, puisque «le trafic pour nous, c'est normal», résume Abdoulaye.

 

L’agression violente d’avant-hier soir aux Mureaux (Yvelines), dans laquelle 7 policiers ont été blessés, une voiture de police pillée puis incendiée et un autre véhicule brûlé est la cinquième du genre en seulement 15 jours. L’interpellation d’un homme pour un banal contrôle routier a rapidement viré à l’émeute. L’homme, un toxicomane multirécidiviste a été libéré par les émeutiers. Aucune interpellation n’a pu être effectuée. En quelques dizaines de secondes, au moins 150 personnes (250 selon la police) se sont regroupés pour attaquer les policiers aux cris de « Vous n’en sortirez pas vivants ».


Il y a cinq jours, dans la nuit du vendredi 29 au samedi 30 septembre, des CRS ont subi des tirs d’arme à feu, à Clichy-la-Garenne dans les Hauts-de-Seine. L’homme, interpellé, était déjà connu de la police.


Trois fonctionnaires, deux hommes et une femme, ont été molestés jeudi 28 septembre alors qu'ils venaient d'inter peller un jeune qui les avait insultés, dans la ville de Vitrolles dans les Bouches-du-Rhône, désormais aux mains des socialistes.


Dans le sud-ouest, à Colomiers (Haute-Garonne), ce sont cinq agents du commissariat local qui ont été blessés dans la nuit du mercredi 27 au jeudi 28 septembre par une dizaine d'inconnus qui attendait une patrouille engagée dans une impasse.


On se souvient également de l’agression ultra-violence contre deux CRS à Corbeil-Essonnes le 19 septembre, dans le quartier des Tarterêts, lorsque qu’une vingtaine de « Jeunes », armés notamment de battes de base-ball, ont caillassé une voiture banalisée. Ils avaient ensuite grandement endommagé la voiture et grièvement blessé l’un des deux CRS.


La préméditation ne fait aucun doute dans la plupart de ces cas. Les policiers ont par ailleurs noté le niveau de violence particulièrement élevé de ces agressions. Pourtant, tellement peu sûr du soutien de leur hiérarchie et au vu des consignes données, aucun n’a osé faire usage de son arme – mis à part un coup en l’air dans l’agression des Mureaux – alors que leurs vies étaient menacées. Certains se demandent s’il faut attendre qu’un policier soit tué pour agir.
On se demande surtout s’il faut attendre qu’un policier soit assassiné pour se rendre compte que Sarközy, là comme ailleurs, ne fait rien. Et nos « Jeunes » d’assurer un peu plus leur main-mise sur les quartiers occupés (1).

Car lorsqu'à 23h17 les sapeurs-pompiers sont arrivés, c'est à coup de cailloux qu'ils ont été accueillis par un groupe d'une quinzaine de personnes. Un de leurs véhicules a même été endommagé. Ne pouvant intervenir et dans l'attente de renforts de police, ils ont dû se retirer rapidement. A 23h47, un scénario identique s'est reproduit ailleurs. A nouveau reçus par les pierres, ils sont toutefois parvenus à éteindre le véhicule en flammes avant de quitter les lieux. Car lorsqu'à 23h17 les sapeurs-pompiers sont arrivés, c'est à coup de cailloux qu'ils ont été accueillis par un groupe d'une quinzaine de personnes. Un de leurs véhicules a même été endommagé. Ne pouvant intervenir et dans l'attente de renforts de police, ils ont dû se retirer rapidement. A 23h47, un scénario identique s'est reproduit ailleurs. A nouveau reçus par les pierres, ils sont toutefois parvenus à éteindre le véhicule en flammes avant de quitter les lieux. Car lorsqu'à 23h17 les sapeurs-pompiers sont arrivés, c'est à coup de cailloux qu'ils ont été accueillis par un groupe d'une quinzaine de personnes. Un de leurs véhicules a même été endommagé. Ne pouvant intervenir et dans l'attente de renforts de police, ils ont dû se retirer rapidement. A 23h47, un scénario identique s'est reproduit ailleurs. A nouveau reçus par les pierres, ils sont toutefois parvenus à éteindre le véhicule en flammes avant de quitter les lieux.

Une nouvelle émeute s'est déroulée hier soir dans la cité occupée des Mureaux : entre 130 et 250 « Jeunes » ont provoqué de nombreux incidents, après que l'un d'entre eux eut refusé de se soumettre à un contrôle de police puis foncé dans un véhicule de police. Lors de ces afffrontements avec les forces de l’ordre, au moins sept policiers ont été blessés.

Les "Jeunes" sont parvenus à incendier deux voitures, dont un véhicule de police.

Aucun émeutier n'a été interpellé, les "Jeunes" ayant même réussi à libérer l'homme interpellé au volant de son véhicule.

Ces faits sont confirmés par des sources policières et judiciaires.

Seulement deux adolescents ont été interpellés et placés en garde à vue après l’agression vendredi soir à Strasbourg d’un lycéen de 17 ans. Suite à un « regard » qui n’a pas plus aux «Autres », le jeune lycée a été passé à tabac par 15 à 20 jeunes à la sortie des cours.
La scène ultra-violente à été filmée par de nombreux complices des agresseurs.

Le lendemain avec une amie, se retrouvant face à face avec l’un de ses agresseurs de la veille, le jeune lycéen a de nouveau été menacé de mort s’il parlait. La jeune fille qui l’accompagnait a été menacée d’un viol collectif, selon la vieille coutume des envahisseurs qui veut que la femme appartienne aux vainqueurs.

Une fonctionnaire de La Seyne-sur-Mer, Elisabeth Cisse, a été condamnée à trois ans de prison ferme. Elle était déjà écrouée depuis un an et a été maintenue en détention. La déchéance de la nationalité n'a malheureusement pas été prononcée. Cette française est en effet d'origine guinéenne. Elle avait trouvé un emploi municipal en 1998, puis était passée aux objets trouvés en 2001. Elle a alors alimenté un trafic de vrais faux-papiers en récupérant des documents administratifs perdus pour permettre à ses "compatriotes" de régulariser artificiellement leur séjour en France. Elle a agit "pour aider les gens qui voulaient venir en France" a-t-elle déclaré à l'audience. La préfecture avait délivré de nombreux documents (titres de séjour, passeports, cartes d'identité) sur la base des ces documents volés.


Dans cette même affaire un policier municipal a été condamné à 18 mois de prison. Il s'agit de Mohammed Beaunes. Une troisième personne d'origine guinéenne a été condamnée à 8 mois de prison avec sursis.


Ibrahim Mohamed Al Housni a été condamné à 15 ans de réclusion. Ce soldat des Emirats arabes unis avait violé une jeune varoise, alors qu'il était venu pour des manoeuvres organisées au camp de Canjuers. Confondu par son empreinte ADN, ce sergent avait toutefois été remis en liberté dans son pays. Les Emirats avaient en effet proposé de juger leur soldat eux-même. La France a refusé puisqu'il aurait risqué la peine capitale.


Tahar Bourahla a été condamné à 30 ans de réclusion criminelle par la cour d'assises du Nord, pour le meurtre de Marianne Listoir. Cette jeune étudiante de 18 ans avait reçu une dizaine de coups de couteau, avant que son agresseur ne l'égorge. "Les coups traduisent un acharnement certain et une sauvagerie surprenante" avait noté le médecin-légiste. Tahar Bourahla, franco-algérien, avait déjà été condamné pour des violences et une agression sexuelle. Il n'a pas non plus été déchu de sa nationalité.

Deux CRS sont tombés dans un véritable guet-apens cette nuit à Corbeil-Essonnes, dans un autre département occupé de France, l’Essonne. Ils faisaient la tournée des troupes dans la cité aux mains de l’ennemi des Tarterêts, à bord d’une voiture banalisée lorsqu’« ils » sont passés à l’attaque.

La voiture a tout d’abord été caillassée, et immédiatement, une vingtaine de « Jeunes » bloquent la voiture et la détruisent à coups de battes de base-ball. Les deux membres des forces de l’ordre ont juste eu le temps d’appeler des renforts (ce qui leur a peut-être sauvé la vie (1) ; ils sont sortis de la voiture et très violemment frappés, avec une sauvagerie inouïe.

Ils sont ensuite abandonnés en pleine rue, inconscients. Transportés à l’hôpital, les deux hommes de la CRS 3 sont hospitalisés. Le capitaine est le plus gravement touché. Il souffre notamment d’une double fracture du crâne ce qui a nécessité son transfert à la Pitié-Salpêtrière......

Etc. Etc. Etc. Etc. Etc. Etc.....

 

 

 


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